Rêves, paillettes, luxe : le Festival de Cannes brille plus que jamais avec ces personnalités de renom montant les marches ornées de bijoux en diamants à couper le souffle. Cette année encore, les plus belles femmes au monde y portent les créations les plus audacieuses, signées des plus grandes marques de joaillerie. A événement unique, pierre exceptionnelle jouant à merveille sa partition glamour. Une occasion rêvée pour le Natural Diamond Council (NDC) de mettre en lumière le diamant naturel sous toutes ses facettes. Liée à un luxe authentique, sa valeur éthique explique l’engouement des célébrités pour cette gemme, star à part entière de la 74ème édition du Festival de Cannes.
A l’honneur sur le tapis rouge
Aucune robe n’est assez renversante, aucun diamant assez gros pour les stars qui arpentent les marches cannoises. Les plus grands joailliers au monde se retrouvent sur le tapis rouge à Cannes. Jour après jour, Première après Première, des diamants naturels, estimés à des millions d’euros, sont sortis des coffres forts pour magnifier les actrices et cinéastes, plus divines et talentueuses les unes que les autres. Attirant les yeux du monde entier, ce spectacle donne lieu à d’âpres négociations menées dans le plus grand secret entre les grandes maisons, les agents et leurs stars. Mais peu importe : la magie est là et bien réelle.
Une pierre rare, précieuse, écoresponsable
Miracles de la nature, mémoires de notre Histoire, pierres de stars, les diamants naturels, mis en vedette au Festival de Cannes, résultent d’une industrie diamantaire soucieuse d’agir de manière durable pour laisser un héritage positif. Représentant les principaux producteurs de diamants, le Natural Diamond Council veille à ce que la découverte de ces pierres naturelles profite à tous ceux qui vivent ou travaillent dans les régions minières et que tout impact sur la biodiversité soit réduit au minimum.
En effet, l’extraction de diamants rime avec une protection constante de la faune et de la flore. Ainsi, le groupe De Beers a joué un rôle de premier plan dans la conservation en créant l’un des réseaux les plus vastes et les plus importants d’Afrique : la Route du diamant. Celle-ci comprend huit sites différents répartis en Afrique du Sud, au Botswana et en Namibie – soit environ 200 000 hectares (ou 2,5 fois la superficie de la ville de New York) – abritant des espèces vulnérables, menacées et en voie de disparition.
Nouvel exemple en faveur de l’environnement : les mines d’ALROSA. 86 % de la consommation totale d’énergie provient de sources renouvelables et plus de 90 % de l’eau est recyclée. La société diamantaire soutient également la conservation de la faune locale sibérienne en protégeant les rennes sauvages.
De même, la mine de diamants de Diavik, située au Canada, a installé un parc éolien de 9,2 MW en 2012. Ce parc éolien – le plus septentrional du monde – fournit jusqu’à 10 % des besoins énergétiques de la mine et remplace environ 3,4 millions de litres de carburant diesel par an. Cette réalisation a été récompensée par le Prix du leadership collectif de l’Association canadienne de l’énergie éolienne (CanWEA).
Minimiser autant que possible l’impact sur la planète est au cœur des préoccupations des membres du NDC. Ils protègent 2 650 Km² de terres, soit trois fois la surface qu’ils utilisent pour leur activité. 99% des déchets produits sont des roches. Stockés sur place, ils sont finalement réhabilités dans le paysage après la fermeture de la mine.
Largement méconnues, ces informations révèlent que le diamant naturel est soumis, à chaque étape de son voyage, aux normes éthiques et durables les plus élevées possibles. Depuis le moment où la roche est retirée du sol, le diamant brut extrait, puis finalement transformé en un magnifique bijou.
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