Quand le quotidien devient décor, et le décor une mise en scène poétique
Maison Sarah Lavoine dévoile « Scènes de Vie », une collection qui transforme l’espace domestique en véritable plateau de cinéma. Chaque objet, chaque matière, chaque nuance y joue son rôle avec intensité et délicatesse. Ici, l’utile s’efface au profit du sensible, et les intérieurs deviennent les témoins d’une narration moderne, libre et infiniment élégante.

La maison comme un film d’auteur
Pensée comme une succession de plans séquences, la collection se lit comme un scénario du quotidien. Réveil feutré sous l’applique Muse, petit déjeuner céramique avec la ligne Sicilia, gestuelle intime capturée par le miroir Arpège, ou encore dîner orchestré autour de la table Équilibre. Chaque moment devient scène, chaque objet un protagoniste.
La lumière, omniprésente, sculpte les volumes et révèle les textures : grès émaillé, laque brillante, bois noble, verre soufflé, soie sauvage. Une palette de nuances profondes, Havane, Carmin, Aubépine, Thé de Chine s’invite dans cette partition visuelle, vibrante et théâtrale.
Objets signés, détails incarnés
Parmi les pièces fortes de la collection, on retient :
- L’applique Muse, en céramique, qui diffuse une lumière tamisée presque cinématographique.
- Les coussins Séquence, habillés d’une soie sauvage aux liserés contrastés, véritables clins d’œil scénographiques.
- Le miroir Arpège, prouesse technique et esthétique, à la ligne dansante et joyeuse.
- Le tapis noué Séquence, hommage aux savoir-faire ancestraux, noué à la main pour un rendu dense et raffiné.
- Les verres Pause, soufflés bouche et teintés dans la masse, véritables acteurs d’un apéritif mis en scène.
- La ligne Oscar, qui décline plateaux, bougeoirs et vide-poches comme autant de sculptures du quotidien.
Une collection qui raconte, touche et transforme
Avec cette nouvelle ligne, la Maison Sarah Lavoine affirme une fois de plus sa vision du design : expressive, sensorielle, narrative. Loin des effets de style figés, Scènes de Vie propose une écriture intime et cinégénique de l’intérieur. On y décèle une ode à la couleur, au geste, à l’imperceptible beauté des moments ordinaires sublimés.
Plus qu’un mobilier, un langage.
Deva Le Grand pour Tendances Plurielles
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